Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

merichewafa

9 juin 2009

EXAMEN

Pollution : La pollution est une dégradation de l'environnement par - de nombreuses tempêtes, exceptionnelles par leur intensité ou leur fréquences (phénomènes méconnus comme "el niño" et "la nia")

- des inondations (ou sécheresses): fréquentes en France. Plus de 600 morts en Algérie en Novembre 2001.

-fontes des glaces: au rythme d'augmentation actuel des températures, 95% de la masse des glaciers alpins aura fondu en 2100 (92 % de la masse du glacier du Mont Kenya a déjà disparu). Pour la première fois (Eté 2000) on a observé de l'eau liquide au pôle Nord.

- Aberrations météorologiques : périodes pluvieuses en été et vagues de chaleur au printemps, températures jouant au yoyo…

- Baisse des durées d'enneigement... (Avec les conséquences touristiques que cela induit, dans les Vosges par exemple, la neige est absente depuis 10 ans)

- ...ou au contraire durée d'enseignement considérablement augmentées par le dérèglement des courants marins, en particulier du Gf Streamer. Si il n'existait plus il y aurait une période de 4 à 6 mois par an d'enseignement sur l'Europe jusqu'en Grèce. Et au contraire, une grave élévation des température en Amérique (New York qui est pourtant à la latitude de l'Espagne Gf depuis toujours de longues périodes d'enneigement)

- propagation des maladies tropicales dans les pays tempérés

- disparition de nombreuses espèces, sensibles aux températures (insectes) mais surtout dont l'écosystème ou la chaîne alimentaire est menacée par les changements climatiques

- élévation du niveau des océans, plus par la dilatation de l'eau des océans que la fonte des glaces terrestre ou polaires

- à terme 92 Millions d'humains potentiellement victimes d'une élévation de

50 cm

du niveau des océans. (chaîne alimentaire rompue l'introduction dans l'air, l'eau ou le sol de matières n'étant pas présentes naturellement dans le milieu. Elle entraîne une perturbation de l'écosystème dont les conséquences peuvent aller jusqu'à la migration ou l'extinction de certaines espèces incapables de s'adapter au changement.

Souvent anthropique, c'est à dire due directement ou indirectement à l'activité humaine, la pollution peut cependant résulter de phénomènes naturels tels qu'une éruption volcanique ou solaire.

On distingue plusieurs types de pollutions :
- La pollution de l'air, provoquée par des polluants dits atmosphériques : rejet de pots d'échappement, des usines...
- La pollution du sol souvent d'origine industrielle ou agricole : utilisation d'engrais, de pesticides ...
- La pollution de l'eau qui peut résulter de la contamination des eaux usées, des rejets de produits (les produits phytosanitaires, ceux présents dans les engrais, les hydrocarbures...)
- La pollution par type ou agents polluants : pollution industrielle, radioactive, électromagnétique, thermique, lumineuse, spatiale, etc.
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l'homme prend peu à peu conscience de l'impact de ses actions polluantes et, de plus en plus, les gouvernements adoptent des mesures pour essayer de limiter l'empreinte écologique des activités humaines.
Les industries sont particulièrement touchées par ces mesures. Pour limiter la pollution dont elles sont responsables, elles tentent de réduire leurs émanations toxiques, d'utiliser des moyens de transports moins polluants et des fournisseurs moins éloignés, etc.

Depuis plusieurs années, l'Etat se penche sur les problèmes de santé et de pollution qui semblent liés. Asthme,

bronchite, cancer, etc. ...

Quel effet la pollution a-t-elle vraiment sur la population? Les voitures sont-elles seules à polluer ?

A l'heure où le baril de pétrole ne cesse de grimper, les compagnies pétrolières en profitent pour continuer d'augmenter leur prix.

Les mairies, quant à elles, essaient de culpabiliser leurs citoyens qui utilisent leur voiture personnelle, sous prétexte de réduire la pollution dans les grandes villes, grâce au fameux tramway. Le tramway qui a refait un retour en force comme Lille et Bordeaux.

Mais on oublie souvent qu'en terme de pollution, il existe aussi une autre source de pollution bien plus importante : les avions !

A une époque où l'on devrait se tourner vers l'économie, on assiste à un véritable gaspillage dans ce domaine, en oubliant combien aujourd'hui les réserves naturelles s'épuisent. Le prix du baril de pétrole ne cesse de grimper, au détriment de nombreux budgets. Au lieu de rechercher de nouvelles sources d'énergie, le gouvernement n'a toujours pas réfléchi aux conséquences.

En bref : L’homme ne peut choisir l’air qu’il respire. Or, ce dernier transporte des polluants d’origine et de nature diverses capables d’interagir. Ils provoquent de nombreuses maladies dont certaines peuvent être mortelles à plus ou moins long

Les principales conséquences (catastrophes) climatiques de l'augmentation des températures moyennes (effet de serre et activités humaines) sur la planète seraient :

, delta inondés..); imaginez ce nombre pour 2 ou

3 mètres

d'élévation

Cette liste n'est pas exhaustive et certaines conséquences de l'effet de serre sont encore inconnues. Quoiqu'il en soit les coûts humain et financier seront gigantesques.

QUESTIONS

1-que dèsigne le terme pollution ?

2-quelles sont les raisons de la pollution ?

3-citez en bref les conséquences de la pollution

FONCTIONNEMENT DE

LA LANGUE

       

1-mettez les verbes de la première paragraphe au futur simple ?

2-remplacez « la pollution par les pollutions ?

http://merichewafa.canalblog.com/

Publicité
Publicité
9 juin 2009

Pollution : La pollution est une dégradation de

Pollution : La pollution est une dégradation de l'environnement par l'introduction dans l'air, l'eau ou le sol de matières n'étant pas présentes naturellement dans le milieu. Elle entraine une perturbation de l'écosystème dont les conséquences peuvent aller jusqu'à la migration ou l'extinction de certaines espèces incapables de s'adapter au changement.

Souvent anthropique, c'est à dire due directement ou indirectement à l'activité humaine, la pollution peut cependant résulter de phénomènes naturels tels qu'une éruption volcanique ou solaire.

On distingue plusieurs types de pollutions :
- La pollution de l'air, provoquée par des polluants dits atmosphériques : rejet de pots d'échappement, des usines...
- La pollution du sol souvent d'origine industrielle ou agricole : utilisation d'engrais, de pesticides ...
- La pollution de l'eau qui peut résulter de la contamination des eaux usées, des rejets de produits (les produits phytosanitaires, ceux présents dans les engrais, les hydrocarbures...)
- La pollution par type ou agents polluants : pollution industrielle, radioactive, électromagnétique, thermique, lumineuse, spatiale, etc.
Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, l'homme prend peu à peu conscience de l'impact de ses actions polluantes et, de plus en plus, les gouvernements adoptent des mesures pour essayer de limiter l'empreinte écologique des activités humaines.
Les industries sont particulièrement touchées par ces mesures. Pour limiter la pollution dont elles sont responsables, elles tentent de réduire leurs émanations toxiques, d'utiliser des moyens de transports moins polluants et des fournisseurs moins éloignés, etc.

2 juin 2009

fiche

-INTRODUCTION:

Dès la fin des années 1960 apparaît des signes d’essoufflement dans les économiques capitalistes. Depuis le I° choc pétrolier de 1973 et la récession de 1974, le monde est plongé dans une crise économique: il n’y a pas d’explications simples et encore moins simplistes. L'économie mondiale a connu une profonde mutation avec la fin de deux grands modèles économiques: l'économie planifiée et le fordisme. Une nouvelle géographie se dessine aussi avec l'émergence de l'Aire Pacifique pendant que le vieux continent stagne dans la crise.

- Une crise économique est une dégradation brutale de la situation économique et des perspectives économiques. Elle amène à une période de ralentissement économique ou, plus grave, à une récession économique. La crise correspond à l'une des phases du Cycle Juglar.

Une telle crise comporte souvent (mais pas systématiquement) une chute soutenue des valeurs boursières. Elle a des répercussions sur le niveau des salaires,

provoque des faillites, accroît les tensions socialesAccueil › Société

Quelles sont les causes de l’actuelle crise économique et quelles leçons pouvons-nous en tirer ?

-Ces questions jaillissent en chacun de nous, en ce moment. Afin de nous aider à mieux comprendre la situation, nous les avons posés à un analyste financier du secteur bancaire. Voici ses réponses.

En fait, les cycles économiques suivent une courbe mesurable, en ce sens que l’on peut prévoir un éventuel creux de vague. On peut en reconnaître les modèles, mais cela ne nous permet pas de prédire l’avenir, parce que la cause de ces chutes périodiques – des «creux de vague» que l’on appelle dépressions – semble chaque fois différente.

Lorsque ceux-ci réalisent qu’il y a surévaluation, ils s’en désintéressent et retirent leur confiance. Les produits perdent alors de leur valeur, parce que moins de personnes en veulent, et cela mène, en fin de compte, à l’éclatement de la bulle.

Or, les produits dérivés sont de plus en plus difficiles à comprendre, ce qui rend de telles erreurs d’évaluation encore plus probables. C’est le cas pour la crise actuelle où l’erreur de base repose sur le fait de prêter de l’argent à des gens qui n’ont pas les moyens de le remettre.

Les hypothèques à haut risque devaient produire des rendements plus élevés, mais le risque a été transféré aux investisseurs par le biais de produits nouveaux, puis de là aux assureurs hypothécaires. Lorsque les petits emprunteurs ne purent plus faire leurs paiements, tout cet édifice financier s’est effondré comme un jeu de cartes, en transférant leurs pertes au suivant, et finalement à toute la société.

On remarque en général un trop grand enthousiasme en période de croissance qui mène à la formation d’une bulle vide, d’une bulle spéculative qui finit par crever. L’enthousiasme immodéré pour un nouveau secteur – comme l’Internet, par exemple, de 1995 à 2001, qui fut surnommé la «dot.combubble» – mène ainsi à une surévaluation des titres financiers (actions, obligations), parce que les investisseurs pensent alors aux perspectives de croissance de leur rendement en oubliant les fondements réels de l’économie.

- Effets et développements:

La notion de crise économique revet des caractéristiques multiformes.

Elle peut concerner un ou plusieurs secteurs de l’économie ou, par extension, son intégralité qu’elle peut gagner par « effet de contagion ».

Répercussions sur l'activité économique globale .

Les crises immobilières ont des conséquences assez importantes car plusieurs canaux facilitent les répercussions sur l'activité économique totale : effet richesse des ménages, secteur de la construction intensif en main-d'œuvre.

Du fait de la financiarisation des pays développés, une crise du secteur financier peut avoir des répercussions fortes sur le reste de l'économie, via les canaux du crédit

Effet de la crise économique en Algérie    La crise économique touche désormais le Maghreb particulièrement l’Algérie, et ce, en raison de la chute des cours du pétrole. Certains projets d’investissement pourraient être gelés, de nombreuses compagnies étrangères ont par ailleurs retiré leurs offres d’exploration de plusieurs sites. Une crise face à laquelle la presse algérienne s’interroge quant à l’absence de réactions de l’état algérien.
Le premier ministre algérien Ouyahia a présenté un plan d’action sur 5 ans, tout en expliquant que le pays n’était pas directement touché par la crise financière internationale. L’Algérie qui reste toutefois menacée sur son secteur stratégique en raison de la dégringolade des prix du pétrole. Les recettes sont déjà en nette baisse et les investissements, dans ce domaine notamment, pourraient bien en pâtir.
L’Algérie qui doit faire face à sa dépendance au pétrole, l’or noir qui constitue plus de 95 % de ses exportations. Alors quand le gouvernement va-t-il réagir ? La presse algérienne n’est pas tendre sur le sujet. L’Expression d’ailleurs n’y va pas par quatre chemins en résumant ainsi la situation, « dormez sur vos deux oreilles, la crise financière qui secoue le monde ne nous touchera pas », semble dire et répéter les dirigeants algériens.
Et pourtant il y a des signes et ça fait du bruit, hier en effet c’est une première, le PDG de la SONATRACH (compagnie algériennes des hydrocarbures) annonçait que certains projets pétrochimiques, vu le contexte international, pourraient être retardés ou gelés. SONATRACH qui dans le même temps s’est voulue rassurante, l’enveloppe de 45 milliards de dollars pour les investissements sur les 4 années à venir est maintenue, investissements qui concernent de nouveaux champs pétroliers et gaziers.
Autre souci que souligne aujourd’hui la presse privée en Algérie concernant « la mamelle » de l’Algérie, « Les attributions des contrats de recherche et d’exploitation (4 sites ont été annoncés), c’est bien pour l’économie du pays, mais attention, car 16 sites en tout devaient être explorés » cite les quotidien.

La presse fait donc les comptes, sur les 72 dossiers présélectionnés, c’était au mois de juillet, la majorité (63 en tout) ont décidé vu le contexte de ne pas donner suite. C’est vrai qu’en juillet tout semblait permis, mais depuis, les prix du pétrole ont subi un revers (en juillet la baril culminait à 150 dollars, il est à 46 aujourd’hui), une chute que les pays de l’OPEP vont tenter de freiner une nouvelle fois ce mercredi, ils se réunissent justement à Oran en Algérie

les solutions de la crise économique mondiale:
Il faut mettre la totalité de l'économie et tout ce qui touche au travail sous le contrôle de la démocratie. La population doit pouvoir décider ce qui va être produit, la répartition de cette production et la manière dont on la produit. Le travail et l'économie sont des choses primordiales dans la vie et pourtant la démocratie n'y a jamais existé. C'est pourquoi on voit des absurdité comme le fait qu'il suffirait de 80 milliards de $ pour mettre un terme aux famine dans le monde et que le plan Paulson pour sauver des banquiers à couter 700 milliards de $. Le plan Sarkozy coute 360 milliards d'€. Cela alors que Fillon avait déclaré que la France était en faillite. Mais étrangement ils trouvent de l'argent pour leur amis banquiers qu'ils ne trouvent pas pour les services publics et pour augmenter les salaires.

Pourtant il est nécessaire de voir qu'aujourd'hui selon la FAO on produit 120% des besoins alimentaires mondiaux. Mais une bonne partie de la production est détruite afin de faire grimper les prix et laissant au passage mourrir de faim des millions de personnes.

- QUESTIONS:COMREHENSION DU TEXTE:

-1 que désigne le mot crise économique?

-2 quelles sont les raisons de la crise économique?

- quelles sont  les influences  de cette probléme?

-GRAMMAIRE:

-quelle les est  les  raports exprimés dans ce texte?

-transformez la phrase suivante à la voix passive ?

" La crise économique touche désormais le Maghreb"

-conjugaison:

-conjuguez les verbes suivant à l'imparfaitet au futur simple?

réagir ,augmenter, touche

2 juin 2009

www.proz.com/kudoz/558795

www.proz.com/kudoz/558795

28 mai 2009

la recherche scientifique

Les premières formes d'organisation de la science [modifier]

S'il existe depuis la haute Antiquité des formes de réflexion spéculatives sur le monde, ainsi que quelques tentatives de son exploration raisonnée, ces démarches scientifiques ou protoscientifiques relèvent jusqu'au XVIe siècle d'initiatives isolées, et sont le plus souvent le fait d'individus savants et passionnés. La recherche scientifique n'existe pas encore en tant qu'encadrement institutionnel des pratiques scientifiques.

On peut cependant relever l'existence de quelques embryons d'une telle organisation, avec les lycées antiques, les écoles philosophiques, les universités médiévales, les monastères, ou le système du mécénat.

Le programme baconien [modifier]

C’est au XVIe siècle, en particulier avec Francis Bacon (1561-1626), qu’est précisée l’idée que la science peut et doit s'organiser en vue d'une maîtrise de la nature et du développement des nations. En affirmant ainsi l’intérêt économique et politique du progrès scientifique, et la nécessité pour les gouvernants de ne pas mésestimer la valeur de leurs savants, Bacon pose les bases d'une recherche scientifique institutionnalisée, encadrée par une politique scientifique participant à l’organisation des travaux des savants pour mieux servir le progrès économique et militaire de la nation. Dans son utopie de la Nouvelle Atlantide, Bacon imagine en particulier une « Maison de Salomon », institution préfigurant nos modernes établissements scientifiques, où sont rassemblés tous les moyens d'une exploration scientifique du monde[1]. Cette Maison de Salomon inspirera la création de la Royal Society, en 1660[2].

Mais si Bacon peut symboliser un moment important de l'institutionnalisation de la recherche, il n'en est pas pour autant l'unique fondateur. Ses textes traduisent une idée qui se cristallise à son époque, et qui commence à se manifester au travers de l'Europe.

L'ère des Académies [modifier]

C'est au cours du XVIIe siècle et du XVIIIe siècle que se développent les Académies, qui sont la première véritable manifestation de l'institutionnalisation de la recherche, jusque là organisée au gré des mécènes.

La professionnalisation de la recherche [modifier]

Il faut cependant attendre le XIXe siècle pour que la recherche se professionnalise réellement, avec l'apparition des premiers chercheurs.

Les États modernes et la recherche scientifique [modifier]

La Seconde Guerre mondiale a été le déclencheur de la conception de nombre des systèmes d'intégration de la recherche dans la stratégie de développement économique et de défense des États modernes. Vannevar Bush, aux États-Unis, est considéré comme un pionnier de cette organisation, qui a fait pression sur le monde politique pour la création de différentes instances, dont la National Science Foundation.

Aperçu de la recherche scientifique [modifier]

Une recherche plurielle [modifier]

La recherche scientifique recouvre des réalités très hétérogènes.

Le manuel de Frascati, pour satisfaire des besoins statistiques, définit plusieurs types de recherche :

  • La recherche fondamentale, entreprise principalement (mais pas toujours exclusivement) en vue de produire de nouvelles connaissances indépendamment des perspectives d'application.
  • La recherche appliquée, qui est dirigée vers un but ou un objectif pratique.
  • Les activités de développement (parfois confondues avec la recherche technologique), qui consiste en l'application de ces connaissances pour la fabrication de nouveaux matériaux, produits ou dispositifs.

Il faut également bien sûr prendre soin de distinguer les différents secteurs disciplinaires : la recherche en philosophie est évidemment très différente de celle en biologie moléculaire ou en archéologie.

On peut également distinguer, à la suite des travaux de Terry Shinn, différents régimes de recherche : régime utilitaire, académique et technico-instrumental.

Des systèmes de normes et de règles [modifier]

Selon les différentes formes de recherche rencontrées, différentes sortes de normes et de règles encadrent les pratiques scientifiques.

Ces normes et ces règles ne sont pas toujours d'ordre juridique. La sociologie des sciences rapporte ainsi l'existence de normes propres au champ scientifique.

Les différentes formes de recherche se distinguent également par les différentes normes "techniques" qui y guident l'activité intellectuelle. C'est l'objet des épistémologies régionales d'analyser et comprendre ces impératifs épistémiques locaux. De même, la "méthode scientifique" n'est pas là même selon les différents régimes de recherche

Publicité
Publicité
28 mai 2009

la transcription phonétique

4J’ai utilisé deux logiciels mis généreusement à la disposition de tous par des équipes de recherche, que je tiens à remercier publiquement pour cette contribution. Il s’agit de laiptts-SpeechMill (Université de Lausanne7) et Mbrola (Faculté Polytechnique de Mons8). Ils fonctionnent tous les deux ensemble et permettent respectivement de transcrire un texte graphique en notation phonétique puis de lire ce texte de manière assez réaliste. Des systèmes du même genre (jaws, par exemple) sont utilisés pour permettre à des aveugles de prendre connaissance d’un texte imprimé à l’aide d’un scanneur, d’un logiciel de reconnaissance de caractères, d’un phonétiseur et d’un synthétiseur vocal.

  • 7  . Il semble que le programme ne puisse plus être téléchargé depuis le site de (...)
  • 8  . On trouvera toutes les indications utiles sur le site du tcts Lab de la Faculté Polytechnique (...)

  • 9  . On peut aussi l’exporter directement dans un fichier son. Pour donner une idée des volumes, (...)
  • 10  . On trouvera en annexe un tableau de correspondance.  J’ai choisi, dans ma transcription, de (...)

5L’opération en elle-même est assez simple : le  texte (qui ne requiert pas de préparation particulière) est soumis au logiciel SpeechMill ; il est ensuite lu par une voix synthétique, ce qui permet de vérifier la correction de la reconnaissance9. On récupère ensuite un fichier texte qui contient une transcription phonétique. Le code employé n’est pas l’api mais le transcodage est aisé10. Au final, on obtient un fichier qui ressemble à celui-ci :

Image1Agrandir

6Il s’agit du début du livre :

28 mai 2009

la cnnotation

Dénotation et connotation

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Les termes de cet article sont fréquemment amalgamés :


discipline de la sémantique : Dénotation , connotation

En linguistique le sens ou signifié dénotatif, la dénotation, s'oppose au sens ou signifié connotatif, la connotation. La dénotation désigne ce à quoi le signe fait référence. La connotation désigne tous les éléments de sens qui peuvent s'ajouter à cette référence. Le champ de la connotation est difficile à définir car il recouvre tous les sens indirects, subjectifs, culturels, implicites et autres qui font que le sens d'un signe se réduit rarement à ce à quoi il fait référence. Définir la connotation est si difficile qu'on en arrive parfois à la définir comme tout ce qui dans le sens d'un mot ne relève pas de la dénotation[1].

Par exemple, si on s'intéresse au mot flic, le sens dénotatif est le même que celui de policier. Mais à ce sens s'ajoutent des connotations péjoratives et familières. Un même mot pourra donc avoir des connotations différentes en fonction du contexte dans lequel il est utilisé. Ainsi la couleur blanche connote la pureté et le mariage pour un Européen, le deuil pour un Extrême-Oriental.

Attention à ne pas confondre l'opposition entre dénotation et connotation avec l'opposition entre sens propre et sens figuré qui relève d'un phénomène de polysémie et non d'une complexification du sens d'un même mot dans un même emploi.

Sommaire

[masquer]

Histoire de la notion de connotation [modifier]

Cette notion est utilisée par la grammaire de Port-Royal. Elle sert à désigner le fonctionnement de l'adjectif par opposition au fonctionnement du substantif. En effet la grammaire de Port Royal oppose les substantifs qui renvoient à des substances identifiables et les adjectifs qui renvoient à des propriétés. Mais elle se heurte à des mots comme humain ou blancheur dont la catégorie grammaticale ne recoupe pas le fonctionnement sémantique. Elle explique donc que l'adjectif connote l'existence d'individus indéterminés auxquels la propriété pourrait convenir. L'adjectif humain connoterait donc l'existence d'hommes tel que l'entend le substantif homme[2].

En fait, les termes connotation et dénotation ont d'abord été utilisés en logique (par Stuart Mill par exemple) comme synonymes de compréhension et extension au sens mathématique du terme (c'est-à-dire pour désigner les propriétés communes aux éléments d'un ensemble d'une part et la liste de tous ces éléments de l'autre).

C'est Louis Hjelmslev qui va infléchir le sens de ces deux termes en les employant, l'un comme synonyme de signification (dénotation) et l'autre pour désigner ce qui se passe quand un langage reçoit une signification seconde (connotation). Ainsi, pour reprendre un exemple de Gérard Genette, le terme "bignole" peut être utilisé pour désigner une concierge (on dit qu'il la dénote), mais l'usage de ce terme particulier plutôt que "concierge" signifie également quelque chose : que le locuteur use du langage familier (on dit qu'il connote ce langage).

Ainsi compris, la notion de connotation ne s'applique strictement parlant qu'aux phénomènes de niveaux de langue ou de régionalismes. C'est à Roland Barthes (dans S/Z) que revient le soin d'élargir la notion jusqu'à son sens actuel, en faisant de la connotation une sorte de sens affectif, une valeur communément ajoutée à un mot par les locuteurs. Pour lui cependant, la connotation n'existait que si elle était exploitée par le texte, une condition dont les auteurs suivants se sont affranchis. Ainsi, on dira couramment que "blanc" connote la pureté, la virginité, même si l'auteur n'exploite pas cette symbolique.

Fonctionnement de la connotation en analyse sémique [modifier]

En sémantique, on appelle sèmes les divers éléments qui composent le sens d'un mot. On distingue parfois les sèmes dénotatifs des sèmes connotatifs. Les sèmes dénotatifs renvoient alors aux éléments de définition partagés par tous les locuteurs alors que les sèmes connotatifs pourront être différents pour un même mot suivant le contexte et l'identité du locuteur. Ainsi gueule appliqué à un humain a le sème dénotatif « orifice » et le sème connotatif « populaire ».[3]

Causes possibles du processus connotatif [modifier]

Le phénomène de connotation ne vient pas nécessairement du signe lui-même. Il peut naitre de la manière dont ce signe est utilisé. On peut ainsi distinguer plusieurs facteurs à l'origine d'une connotation[4] :

  • Le jeu sur les sons : la connotation peut naitre de la manière de prononcer (accents etc.) ou de phénomènes sonores comme la rime ou la paronomase.
  • Phénomènes prosodiques : rythme, intonation, débit etc. Ils permettent de mettre en valeur certains mots, d'en souligner tel ou tel aspect.
  • La construction syntaxique : telle ou telle structure de phrase peut ainsi évoquer un niveau de langue ou même un contexte culturel particulier.
  • Les connotations intrinsèques au signifiant lui-même : certains mots portent en eux une valeur axiologique intrinsèque : ils indiquent obligatoirement le point de vue du locuteur. C'est le cas pour les mots péjoratifs et mélioratifs, par exemple. Les connotations de stupide, par exemple, ne peuvent être que négatives mais elles renvoient à la même notion qu'inintelligent, qui se montre plus neutre.
  • Les associations d'idées : pour des raison culturelles ou simplement psychologiques, un signe peut se charger pour certaines personnes de connotations qu'il n'aura pas pour d'autres

28 mai 2009

RésuméSynthèse de Littérature avec images (niveau

Résumé

Synthèse de Littérature avec images (niveau Lycée) sur les principaux traits du mouvement romantique. Dans quel contexte historique et littéraire le Romantisme voit le jour ? Quelles sont ses principales caractéristiques, ses thèmes, ses acteurs et ses oeuvres fondatrices ? Qu'est-ce qu'un héros romantique ?

Extrait:

Le Romantisme est un mouvement qui peut être abordé de différentes manières. J'ai longuement hésité sur la manière de diriger cette étude, jusqu'à arriver à la suivante : j'ai réparti le sujet sur trois axes, en quatre chapitres. Dans le premier et le quatrième je retracerai les différentes étapes et évènements qui ont élaboré le mouvement, puis dans le deuxième je regrouperai les principaux acteurs, leurs oeuvres et les thèmes dont ils ont traité, et enfin je tenterai de définir dans le troisième chapitre ce qu'est un « héros romantique ».
J'ai tout fait pour que ce dossier puisse être facile à comprendre et résume au mieux l'état d'esprit artistique du XIXème siècle (...)

28 mai 2009

le romantisme

1804 1814 1815 1821 1824 1830

1830

1831 1840 1848 1851

  'adjectif « romantique » était au dix-septième siècle synonyme de « romanesque ». Rousseau l'employa plus tard dans Les Rêveries du promeneur solitaire (1782) pour caractériser la sauvagerie pittoresque des rives du lac de Bienne. Mais c'est en Allemagne avec les écrivains du Sturm und Drang (Orage et Passion) qu'il prit son sens moderne pour désigner la poésie médiévale et chevaleresque. C'est tardivement (Stendhal parle de "romanticisme" en 1823) que le substantif « romantisme » fut utilisé, par opposition au classicisme, pour englober les aspirations convergentes de toute une génération. Le mouvement est en effet d'ampleur européenne et il n'est pas sûr que ce soit en France qu'il ait pris ses formes les plus profondes. On a pris coutume ici de l'identifier au mal du siècle, ce trouble existentiel qui ravagea toute une jeunesse désœuvrée, avide d'exprimer l'énergie de ses passions et de ses rêves, et consternée de ne trouver dans la société de la Restauration que de maigres canaux. Par là s'explique l'imagerie vite convenue du poète solitaire, déversant ses épanchements dans une Nature complice et cultivant l'extravagance de son imaginaire exalté. D'Allemagne vinrent pourtant des sources d'inspiration plus fécondes qui résonnent particulièrement dans le panthéisme de Nerval et Hugo : le Romantisme procède à une contestation de la Raison dont il aperçoit l'infériorité sur le cœur et l'imagination dans la connaissance de l'Univers. Il exprime aussi une aspiration à la Liberté politique, que manifestent alors la plupart des peuples européens.

1. Une littérature populaire et nationale.

  L'esprit romantique est inséparable de la contestation des valeurs de l'Ancien Régime. En ce sens, il anticipe sur les révolutions sociales et nationales de l'Europe et contribue à les faire éclore. Cet aspect du mouvement ne deviendra politique qu'un peu plus tard, mais les définitions que l'on trouve de l'adjectif dès la fin du XVIIIème siècle s'accordent à repérer dans l'esprit nouveau une recherche de l'identité nationale et un souci de donner aux peuples un art qui reflète leur âme et leurs traditions. Stendhal écrit ainsi : «Le romanticisme est l'art de présenter aux peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible. Le classicisme, au contraire, leur présente la littérature qui donnait le plus grand plaisir à leurs arrière-grands-pères.» (Racine et Shakespeare, 1823). Par là s'explique aussi le goût des Romantiques pour le folklore et la couleur locale.

28 mai 2009

Publicité
Publicité
1 2 > >>
Publicité
Publicité