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merichewafa
2 juin 2009

fiche

-INTRODUCTION:

Dès la fin des années 1960 apparaît des signes d’essoufflement dans les économiques capitalistes. Depuis le I° choc pétrolier de 1973 et la récession de 1974, le monde est plongé dans une crise économique: il n’y a pas d’explications simples et encore moins simplistes. L'économie mondiale a connu une profonde mutation avec la fin de deux grands modèles économiques: l'économie planifiée et le fordisme. Une nouvelle géographie se dessine aussi avec l'émergence de l'Aire Pacifique pendant que le vieux continent stagne dans la crise.

- Une crise économique est une dégradation brutale de la situation économique et des perspectives économiques. Elle amène à une période de ralentissement économique ou, plus grave, à une récession économique. La crise correspond à l'une des phases du Cycle Juglar.

Une telle crise comporte souvent (mais pas systématiquement) une chute soutenue des valeurs boursières. Elle a des répercussions sur le niveau des salaires,

provoque des faillites, accroît les tensions socialesAccueil › Société

Quelles sont les causes de l’actuelle crise économique et quelles leçons pouvons-nous en tirer ?

-Ces questions jaillissent en chacun de nous, en ce moment. Afin de nous aider à mieux comprendre la situation, nous les avons posés à un analyste financier du secteur bancaire. Voici ses réponses.

En fait, les cycles économiques suivent une courbe mesurable, en ce sens que l’on peut prévoir un éventuel creux de vague. On peut en reconnaître les modèles, mais cela ne nous permet pas de prédire l’avenir, parce que la cause de ces chutes périodiques – des «creux de vague» que l’on appelle dépressions – semble chaque fois différente.

Lorsque ceux-ci réalisent qu’il y a surévaluation, ils s’en désintéressent et retirent leur confiance. Les produits perdent alors de leur valeur, parce que moins de personnes en veulent, et cela mène, en fin de compte, à l’éclatement de la bulle.

Or, les produits dérivés sont de plus en plus difficiles à comprendre, ce qui rend de telles erreurs d’évaluation encore plus probables. C’est le cas pour la crise actuelle où l’erreur de base repose sur le fait de prêter de l’argent à des gens qui n’ont pas les moyens de le remettre.

Les hypothèques à haut risque devaient produire des rendements plus élevés, mais le risque a été transféré aux investisseurs par le biais de produits nouveaux, puis de là aux assureurs hypothécaires. Lorsque les petits emprunteurs ne purent plus faire leurs paiements, tout cet édifice financier s’est effondré comme un jeu de cartes, en transférant leurs pertes au suivant, et finalement à toute la société.

On remarque en général un trop grand enthousiasme en période de croissance qui mène à la formation d’une bulle vide, d’une bulle spéculative qui finit par crever. L’enthousiasme immodéré pour un nouveau secteur – comme l’Internet, par exemple, de 1995 à 2001, qui fut surnommé la «dot.combubble» – mène ainsi à une surévaluation des titres financiers (actions, obligations), parce que les investisseurs pensent alors aux perspectives de croissance de leur rendement en oubliant les fondements réels de l’économie.

- Effets et développements:

La notion de crise économique revet des caractéristiques multiformes.

Elle peut concerner un ou plusieurs secteurs de l’économie ou, par extension, son intégralité qu’elle peut gagner par « effet de contagion ».

Répercussions sur l'activité économique globale .

Les crises immobilières ont des conséquences assez importantes car plusieurs canaux facilitent les répercussions sur l'activité économique totale : effet richesse des ménages, secteur de la construction intensif en main-d'œuvre.

Du fait de la financiarisation des pays développés, une crise du secteur financier peut avoir des répercussions fortes sur le reste de l'économie, via les canaux du crédit

Effet de la crise économique en Algérie    La crise économique touche désormais le Maghreb particulièrement l’Algérie, et ce, en raison de la chute des cours du pétrole. Certains projets d’investissement pourraient être gelés, de nombreuses compagnies étrangères ont par ailleurs retiré leurs offres d’exploration de plusieurs sites. Une crise face à laquelle la presse algérienne s’interroge quant à l’absence de réactions de l’état algérien.
Le premier ministre algérien Ouyahia a présenté un plan d’action sur 5 ans, tout en expliquant que le pays n’était pas directement touché par la crise financière internationale. L’Algérie qui reste toutefois menacée sur son secteur stratégique en raison de la dégringolade des prix du pétrole. Les recettes sont déjà en nette baisse et les investissements, dans ce domaine notamment, pourraient bien en pâtir.
L’Algérie qui doit faire face à sa dépendance au pétrole, l’or noir qui constitue plus de 95 % de ses exportations. Alors quand le gouvernement va-t-il réagir ? La presse algérienne n’est pas tendre sur le sujet. L’Expression d’ailleurs n’y va pas par quatre chemins en résumant ainsi la situation, « dormez sur vos deux oreilles, la crise financière qui secoue le monde ne nous touchera pas », semble dire et répéter les dirigeants algériens.
Et pourtant il y a des signes et ça fait du bruit, hier en effet c’est une première, le PDG de la SONATRACH (compagnie algériennes des hydrocarbures) annonçait que certains projets pétrochimiques, vu le contexte international, pourraient être retardés ou gelés. SONATRACH qui dans le même temps s’est voulue rassurante, l’enveloppe de 45 milliards de dollars pour les investissements sur les 4 années à venir est maintenue, investissements qui concernent de nouveaux champs pétroliers et gaziers.
Autre souci que souligne aujourd’hui la presse privée en Algérie concernant « la mamelle » de l’Algérie, « Les attributions des contrats de recherche et d’exploitation (4 sites ont été annoncés), c’est bien pour l’économie du pays, mais attention, car 16 sites en tout devaient être explorés » cite les quotidien.

La presse fait donc les comptes, sur les 72 dossiers présélectionnés, c’était au mois de juillet, la majorité (63 en tout) ont décidé vu le contexte de ne pas donner suite. C’est vrai qu’en juillet tout semblait permis, mais depuis, les prix du pétrole ont subi un revers (en juillet la baril culminait à 150 dollars, il est à 46 aujourd’hui), une chute que les pays de l’OPEP vont tenter de freiner une nouvelle fois ce mercredi, ils se réunissent justement à Oran en Algérie

les solutions de la crise économique mondiale:
Il faut mettre la totalité de l'économie et tout ce qui touche au travail sous le contrôle de la démocratie. La population doit pouvoir décider ce qui va être produit, la répartition de cette production et la manière dont on la produit. Le travail et l'économie sont des choses primordiales dans la vie et pourtant la démocratie n'y a jamais existé. C'est pourquoi on voit des absurdité comme le fait qu'il suffirait de 80 milliards de $ pour mettre un terme aux famine dans le monde et que le plan Paulson pour sauver des banquiers à couter 700 milliards de $. Le plan Sarkozy coute 360 milliards d'€. Cela alors que Fillon avait déclaré que la France était en faillite. Mais étrangement ils trouvent de l'argent pour leur amis banquiers qu'ils ne trouvent pas pour les services publics et pour augmenter les salaires.

Pourtant il est nécessaire de voir qu'aujourd'hui selon la FAO on produit 120% des besoins alimentaires mondiaux. Mais une bonne partie de la production est détruite afin de faire grimper les prix et laissant au passage mourrir de faim des millions de personnes.

- QUESTIONS:COMREHENSION DU TEXTE:

-1 que désigne le mot crise économique?

-2 quelles sont les raisons de la crise économique?

- quelles sont  les influences  de cette probléme?

-GRAMMAIRE:

-quelle les est  les  raports exprimés dans ce texte?

-transformez la phrase suivante à la voix passive ?

" La crise économique touche désormais le Maghreb"

-conjugaison:

-conjuguez les verbes suivant à l'imparfaitet au futur simple?

réagir ,augmenter, touche

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